Le voyage se résume à partir d'un point connu pour en rejoindre un autre connu , puis le cas échéant revenir au point de départ. Plusieurs états d'esprit peuvent influer la stratégie utilisées, et chacune est adaptée à son objectif.
A notre siècle de la vitesse, l'état d'esprit est souvent d'aller le plus vite possible d'un point à un autre.
Au siècle des explorateurs, l'état d'esprit est de relier et mesurer le monde, d'en dresser la carte.
Au siècle des découvreurs, l'état d'esprit est la recherche de nouveaux espaces de vie.
Notre siècle de la vitesse a touché notre notion de voyage au point qu'il n'est plus envisagé actuellement de faire une navigation sans logiciels de navigation capteurs et répétiteurs idoines capables de vous donner votre position et même l'heure estimée d'arrivée. Stratégie simple, entrez vos données et suivez les instructions.
Au siècle des explorateurs, l'inconnu fait peur, le grand espace et le vide est redouté, alors les mesures faites avec des étalons permet de découper le monde en carreaux. Passer d'un carreau à l'autre a l'aide des instruments permet ainsi de relier un point à un autre, et de montrer sur la carte que nous sommes là et l'objectif ici.
Au siècle des découvreurs, l'inconnu est l'avenir, source de renouveau, le vide ne demande qu'à être remplis. On sait d'où nous partons, reprendre le chemin du retour, et, savons repérer ce qui nous entoure (de nouvelles terres inconnues) même au delà de l'horizon. Pour faire simple, le voyage des découvreurs peu être comparé au vol du boomerang. Si celui-ci n'atteint pas son objectif, il retourne à son point de départ.
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